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Ce qu'il
y a de bien aussi dans les festivals, c'est les rencontres
qu'on y fait avec d'autres passionnés qui comme nous ont
rit, soupiré, tremblé et même versé une larme émue devant
les mêmes histoires.
Et
à Versailles, la magie s'est de nouveau opérée.
Au début, on
est tous debout devant les tables de dédicaces.
Et
puis assez vite, on se retrouve par terre ou sur des tabourets
pliants, pour les plus prévoyants. On discute le bout
de gras, on s'échange nos impressions, nos diverses expériences
des festivals qui sont autant d'anecdotes amusantes à
retenir (un joli "best of" est en préparation
d'ailleurs) ou bien encore, on choisit de se relire pour
l'énième fois des passages de notre b.d préférée connus
par cœur mais dont on ne se lasse jamais ou alors de finir
les dernières pages d'un livre resté trop longtemps sur
notre table de nuit…
Un
peu plus tard, les sandwichs sortent des sacs, diverses
boissons suivent : l'esprit de Woodstock sans les excès
capillaires et sans la musique…
Euh bon d'accord, c'est pas vraiment l'esprit de Woodstock
alors, mais bon, on est bien quoi !
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