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« Cherchant un fortin espagnol, l’explorateur mit à jour une sépulture entièrement vouée à une étrange divinité »

Vous êtes des milliers à vous (et à nous) demander d'où " Mais d'où sort donc ce dieu Auracan ? ". Il était de notre devoir de vous faire part de cette troublante découverte du Professeur Erwin Ebenizer Harwicks. En lisant ce qui suit, vous comprendrez enfin pourquoi et comment un groupe de fanatiques a décidé de se vouer corps et bien à la glorification du dieu de la bande dessinée...


Une sépulture olmèque, dédiée au dieu Auracan, découverte à Iquos


Le Professeur Erwin Ebenizer Harwicks est à l'origine de cette découverte sans précédent. Son équipe a, en effet, mis à jour une importante sépulture olmèque inviolée non loin des sources du fleuve Amazone.

C'est en cherchant à retrouver des vestiges d'un fortin espagnol que le savant a découvert quelques fragments de poteries précolombiennes. A priori, rien ne semblait indiquer une quelconque trace de présence olmèque en cet endroit. Peut-être avaient-ils été amené là en même temps qu'un butin emporté par les conquérants espagnols. Malgré tout, la découverte restait inexplicable: aucun objet de ce type n'avait été trouvé ailleurs jusqu'à présent.
Poussant plus loin son exploration du site, le Pr. E.E. Harwicks mit à jour une vaste sépulture souterraine composée de trois salles. La première, la plus anodine, ne contenait qu'un fatras de poteries brisées et d'objets de culte divers. La deuxième, jusqu'alors inviolée -l'entrée en était scellée- était une chambre funéraire où reposaient deux momies. Ces dernières décontenancèrent le Professeur: leur peau était blanche et leur chevelure longue et également très pâle.
Et pourtant, l'archéologue n'était pas au bout de ses surprises. La troisième salle, véritable temple miniature, semblait dédiée à une étrange divinité: Auracan.

Cette divinité, inconnue jusqu'à ce jour, se retrouve sur une multitude d'objets ainsi que sur des bas-reliefs, étonnamment bien conservés. Mais le plus stupéfiant parmi tout cela est certainement cette longue bande de papier curieusement décorée (voir ci-contre). Ce document découvert par le Professeur Erwin E. Harwicks se compose d'une longue bande de papier, fabriqué à base de raphia provenant d'une espèce de ficus. Plié treize fois, il est peint d'un seul côté. Le sens de lecture est de bas en haut et de droite à gauche. Le côté peint est divisé en cinq bandes longitudinales et soixante deux bandes transversales. La décomposition en plusieurs bandes horizontales et verticales forme ainsi un ensemble de cases. Chacune d'elles représente un élément de ce qu'on pourrait appeler un récit dessiné, un peu à la manière des bandes dessinées actuelles. Le sens de la lecture s'effectue de bas en haut et de droite à gauche. La case centrale de chaque bande horizontale correspond à une espace de code ou à une sorte d'écriture assez sommaire. Il est probable qu'elle serve à compléter les cases voisines.

Cette forme de langage n'a pas encore pu être complètement éclaircie. Le personnage que l'on retrouve à de nombreux endroits, est le dieu Auracan. C'est ce même personnage que l'on retrouve un peu partout dans cette troisième salle. Ce document est le plus ancien de ce type jamais découvert.

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