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La Parole perdue s'ouvre sur la période christique
où nous assistons à l'exécution du Christ.
Mais, comme nous l'annonçait le début de la
série, ce n'est pas Jésus mais bien son frère
jumeau qui meurt sur la croix. L'imposteur disparaît,
le véritable messie se fait fondateur de la première
loge…
Ce sont les conséquences de cet épisode qui
se font sentir dans l'époque contemporaine. Didier
Moselle est proche de retrouver la localisation exacte du
véritable tombeau du Christ. Le Pape, quant à
lui, vit ses dernières minutes dans les coulisses obscurs
du Vatican, tandis que les Gardiens du Sang tentent coûte
que coûte d'empêcher Moselle de parvenir à
son but et de laisser l'imposture éclater au grand
jour.
Moselle, au fur et à mesure qu'il approche de la vérité,
pénètre du même coup dans le secret maçonnique
et fait connaissance avec la Loge première. Il bénéficie
également de la protection d'un mystérieux individu
qui lui fait parvenir, par delà la mort, des lettres
de son défunt compagnon Marlane… au point de se
poser l'improbable question : est-il encore de ce monde ?
Cet avant-dernier tome tisse de manière plus resserrée
les différentes pièces de la toile posée
dans les chapitres précédents. Par delà
les générations et les époques, on entrevoit
la cohérence d'une vérité apocryphe conservée
dans le secret du triangle.
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